Dans le cadre d'autres projets, oui, j'ai déjà eu l'occasion de taper à la porte de la CCI, de BPI France, ou à celle d'autres acteurs institutionnels de ma région (ex : BIC Innov'up sur Nîmes, Cap Oméga sur Montpellier, etc). Le problème, c'est qu'à chaque fois, on m'expliquait gentiment que ce que je voulais faire était beaucoup trop compliqué. Trop technique. Trop artistique. Mes projets nécessitaient alors une telle expertise que personne ne pouvait réellement m'aider. En clair : que ça allait leur demander un peu trop de travail.
Pour ce projet-là, j'en ai eu un peu marre qu'on me dise « non » sous prétexte qu'on ne savait pas comment m'aider avec les connaissances de l’instant présent. J'ai donc décidé de taper le plus haut possible en allant chercher des experts reconnus dans leur domaine respectif et en finalisant moi-même leurs connaissances techniques dans le cadre de ma future activité. Ce fut notamment le cas de KPMG ou encore du plus gros cabinet d'avocats d'affaires de ma région (PLMC pour ne pas le citer). Maintenant qu'ils ont compris les grandes lignes de mon futur business, j'ai enfin quelques portes qui s'ouvrent.
Pour l’instant, rien n’est toutefois gagné, puisqu’il me reste encore quelques étapes à franchir. Mais, pour une fois, j’ai bon espoir.