L'histoire originale, c'est Henry Fort qui disait "si j'avais demandé à mes clients ce dont ils avaient besoin, ils m'auraient dit des chevaux qui vont plus vite".
Mais Elon Musk n'a pas préparé en secret une révolution : il fait des voitures électriques avec une meilleure autonomie et plus de confort, et des fusées qui sont partiellement recyclables, il répond à des problèmes donc. En plus il publie gratuitement ses brevets dis-donc. (Et la glorification de Steve Jobs me fatigue un peu j'avoue, il a eu de la chance et il n'a pas "fait" grand chose lui-même).
Désolé mais tu te trompes....sur tout ! Sur Nicolas, sur les brevets, sur les business angels, sur les révolutions de demain, et le plus important, sur comment créer un nouveau business prospère. Peut-être que la lecture de "Running Lean" pourrait te permettre de voir les choses sous un autre angle. Mais je peux te dire que Nicolas ne met pas "coach" sur son profil alors qu'il aide quotidiennement des startups à percer avec agilité et panache. Dans le domaine, en incluant les business angels et les "capitaines d'industrie et leur vision" il en connaît un sacré rayon !!! Et je ne parle même pas d'aventures humaines certainement pas banales.
Si on devait apporter une révolution pour créer une entreprise, notre économie serait exsangue. AirBnb, CaptainTrain et Uber sont copiables techniquement sans problème, et je ne pense pas qu'elles aient des brevets particuliers. Je ne suis donc pas d'accord avec ta vision sur les startups et leurs brevets, en tout cas pour celles qui marchent...
Maintenant Nicolas demande des idées de problèmes à résoudre, pas des procédés pour révolutionner le monde. C'est justement inventer le procédé qui est l'étape suivante. En fait, toute ta réponse est hors-sujet quand elle n'est pas injustement hautaine. Et je pense qu'il aura plus de succès dans cette voie (en fait, le bougre, il en a déjà), pendant que tu devras concurrencer les leaders mondiaux de casques de réalité virtuelle avec leur renommée, leur puissance commerciale, leurs réseaux de distribution, leur armada de logiciels compatibles et exclusifs (qui sont en réalité ce que les utilisateurs attendent et vont acheter) et très bientôt, eux aussi, leurs casques à 100 € (le support, qui a vocation à ne rien coûter, comme une liseuse). Sans offense, mais sans langue de bois.