Bonjour,
Ne voulant pas mourir Idiot, j'ai tenté l'expérience.
Seulement voilà, Je suppose quand région parisienne le très haut débit est généralisé, ce n'est pas le cas dans ma campagne... Télécharger un PDF de 127, 6 MB prend un certain temps et je n'ose imaginer ce que cela donnerai depuis mon Smartphone et ma connexion à peine 3G (quand les conditions météos sont favorables). Dans mon usage des terminaux, tout ce qui prend plus de 30 seconde je le fais sur PC pas sur Smartphone (le smartphone c'est pour les choses rapides ou instantanées). Là pas de chance, vous ne parlez pas de version Windows de Snappress...
Fin du test (avec la frustration de vivre en zone sous développée)
Sur le contenu, je m'interroge quand même sur les points suivant:
- A la capitale, les gens lisent vraiment 92 pages sur leur smartphone ?
- La réalité augmentée dont vous parlez fait référence non seulement aux articles mais aussi à la pub! Je trouve déjà la pub trop présente dans la presse comme ça (en particulier dans la presse payante.). Dans ma vision, la pub diminue la réalité...
- J'ai une grande crainte face à tout cet arsenal technologique. Pour vous lire il faut Android (qui garde précieusement une trace de ce qu'on fait), un plug in PDF (qui apparaît paradoxalement la partie la plus sécurisé de la chose) et l'application gratuite (donc, on est le produit) SnapPress. Cela fait beaucoup et nécessite un smartphone un minimum performant pour avoir un certain confort d'utilisation. (j'oublié l'application QR-code pour trouver SnapPress). Pour moi c'est trop compliqué.
Pourquoi ne pas faire plus simple avec une version en ligne (donc sans le temps de téléchargement des 130 MB) et avec moins d'applications tiers. Certes cela demande un effort en développement et fait moins DIY mais en plus garanti une portabilité bien meilleure (même à la campagne).
J'ai un peu travaillé sur un projet de réalité augmentée touristique et notre préoccupation était de faire simple et conviviale pour la technologie ne soit pas une contrainte.
Par contre, l'idée en soi me semble sympa. Je vous invite à persévérer.