Bonjour @olivierChaillot . Je n'ai pas de réponse à ta question... Je suis moi-même partagée, ma maman ayant été femme de ménage, je connais ces situations difficiles à la fin du mois, le mépris social qui peut s'exprimer y compris par des personnes se disant bienveillantes... et ma propre situation où après de longues études, ma rémunération est le reflet de mes efforts scolaires et de mes postes dit "à responsabilité". Depuis le début du confinement, je suis en pleine réflexion sur le sens: sens de mon travail, sens de mes occupations journalières, sens de ce que j'ai envie de transmettre à mes enfants, ... questionnement sans fin sur l'important, le nécessaire. Ce n'est pas en applaudissant tous les soirs que nous aiderons concrètement ces personnes ayant ces métiers socialement dévalués à vivre mieux de leur métier, et surtout à changer durablement notre regard social. Les quelques mesures annoncées ces derniers jours; notamment par des primes, ne changeront rien dans la durée.
Je viens de lire ce terrible constat, que nous avions très certainement en tête, mais le lire donne pleinement conscience : www.nouvelobs.com/coronavirus-de-wuhan/2020041...