En fait, selon le profil de la personne en face, il faut sans doute réussir à doser son empathie ;). Déjà, soi-même, on est plus ou moins empathique et sensible à l'empathie... C'est pareil pour les autres ! Certaines personnes attendent de l'empathie de la part de leur interlocuteur, d'autres préfèrent un échange plus factuel. Sans être un spécialiste du sujet, je songe, par exemple à l'analyse transactionnelle et à ses différents profils... Avec l'empathie, on est dans l'émotionnel et certains des profils préfèrent un contact plus orienté action ou pensée à un contact orienté émotion (drivers de Paul Ware).
Je rejoins
@IsabellePruvot sur la notion soft skill :)
Je pense que ce ne doit pas être le skill majeur pour le business.
Le courtermisme des donneurs d'ordres est un pb en soi... C'est incompatible avec
plein de choses en fait ! On y perd en empathie, en sens, en cohérence,... et bien sûr, en confiance (laquelle n'est pas liée qu'à l'empathie).