Cette réalité est effective dans les CAE (coopératives d'activité et d'emploi), sachant que c'est un "entrepreneur-salarié".
Pour les formes de salariats plus classique, le développement de l'intrapreneuriat me semble le bon cadre pour concrétiser cette sous-traitance.
Le statut d'auto-entrepreneur est aussi une piste, de par la facilité de mise en oeuvre :
- pour le salarié sous-traitant (exonération de TVA qui simplifie),
- pour un salarié qui souhaiterait proposer une prestation de service hors le cadre de son employeur principal.