J'avance pas mal sur les principes de base de la solution vie personnelle assistée par ordinateur (VPAO) que je cherche à organiser pour Ector.  Pour info l'ami Ector est sous ector.tech

Je voudrais trouver (ou de l'aide pour organiser, documenter, maintenir) une solution complète de serveur privé virtuel où :

* je m'abonne en donnant le nom de ma machine, un nom de domaine, et un mot de passe

* je reçois une adresse IP sous Debian 8

* j'ai un ou plusieurs scripts documentés à exécuter, les fichiers de config à copier et la doc qui va avec pour : un ensemble clair ssh, apache, mail, sendmail, perl, php, named, nano, etc.   sur le serveur vituel et sur ma machine locale pour pouvoir les faire marcher en trirème avec ma domotique personnelle.

Le but sera de confier ensuite la tâche à Ector pour les suivants et les copains.

Si vous pensez que cette question est la fin des haricots, bon ... Sinon, si vous pensez que je suis sur quelque chose qui pourrait vous être utile : bonne fin d'année à vous tous qui ployez sous le fardeau de l'informatique geekée.

hébergement serveur informatique internet des objets vpao
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4 réponses

il y a 7 ans par FredericLibaud

Bonsoir,

A la lecture des commentaires et réponses, je pense qu'il y a des incompréhension.

Un VPS est un serveur privé virtuel, il s'agit donc d'une machine virtualisé qui est physiquement avec beaucoup d'autres implantée sur une machine physique. Le système d'exploitation est virtualisé et fonctionne dans une bulle pour faire un parallèle. Il n'a pas conscience qu'il n'est pas directement implanté sur une machine physique.

On trouve ce type d'offre éventuellement clé en main, chez les grands fournisseurs de service d'hébergement ou des petits.

Le protocole IPV4 est un protocole d'adressage physique des machines voués à être remplacé par sa version 6 (IPV6).

L'universalité chez les offreurs de services d'hébergement n'étant pas au programme afin de maintenir le client chez eux entre autres.

Il faut comparer ce qui est comparable... on le fera donc pour un hébergeur à périmètre de service équivalent et on comparera la qualité supposé, l'offre au coût.

Quand à l'accès de l'outil numérique par Madame Michu il faudrait se poser la question d'abord de l'usage, qui n'est pas si développé que l'on veux bien le faire croire. Et commencer par ça, car cela amènera de nouveaux besoins ! Et permettra d'entrer dans un cercle vertueux.

Frédéric Libaud, Fondateur et CEO de NUM'X, Les Experts en Numérique
www.numx.fr | blog.numx.fr

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il y a 7 ans par jefsey

Il semble que ma question soit encore prématurée et donc que ce n'est pas demain que nous aurons un entrepreneur solitaire ou un freelance astucieux pour répondre au besoin du siècle ! :-)  Depuis 1986 l'avancée s'est faite dans le déploiement, mais pas vraiement dans l'architecture politiquement bloquée (trop de gens à l'IETF). Cela a conduit tout le monde à faire/penser comme tout le monde. Comme tu le dis par petits intérêts commerciaux qui gènent les grands déploiements marché. Je vais donc procéder par moi-même : (1) voir si Puppet, Ansible, Chef ou CFEngine peuvent m'aider à stabiliser un master et (2) me repalucher comme en 1990 une Dev Ops  robuste adaptée.

Cela retardera l'innovation, si je ne gagne pas assez d'argent avec cela pour payer le développement Libre que mon sysops VPS utilisera ! Mais que de temps et d'argent perdu pour les copains ...

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il y a 7 ans par FredericLibaud

Bonjour,

Il existe beaucoup de chose de disponibles... grâce entre autres au fait que celles-ci sont souvent sous licences Open Sources.

Le problème c'est l'homogénéité de l'ensemble... ce qui implique de devoir souvent les retoucher pour les intégrer. Ce qui du coup fait perdre bien des fois l'avantage de les intégrer. Car on perd le lien de l'évolutivité...

Le problème de fond c'est que chacun fonctionne dans son coin et c'est d'une certaine façon bien normale... nous vivons dans un monde ou l'on doit valoriser sa production et son savoir. On ne vie pas au pays des Bisounours !

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il y a 7 ans par jefsey

Le problème fondamental est là ! Car ce faisant on s'impose des limites absurdes à tout le schmilclick. Et on ne vend que ce que la NSA peut techniquement surveiller - c'est fait au départ pour cela, ce sont eux qui ont payé pour le stack internet. C'est uniquement leur modèle à couche six présentation manquante, à dessein stratégique, sur l'internet. Face à cela il y a deux solutions :

1) le tout "quelque chose" (Google, Amazon, IBM, etc. Linux +/- Libre) avec du REST en desserte d'API interactive où la présentation est assummée application par application. Et donc potentiellement de façon différente pour deux appli sur la même machine. C'est l'architecture de l'application web et des noms de domaine internationalisés pour le DNS.

2) le PLUS (Presentation Layer Uniform Space - cf. ce que m'en dit Vint Cerf : plus.institute/index.php/Introduction) où il n'y a pas d"interaction" mais des protocoles de formatage d'information (éventuellement active : évolution du contenu durant le transport) échangée  (j'explore "djson" un json orienté traitement/remise intelligente) chacun chez soi. Il n'y a pas d'échanges informatiques, seulement un environnement multimatique où chacun traite les données à sa façon, avec le logiciel propriétaire ou Libre qu'il veut. Comme nous le faisons tous dans la vie courante. C'est le "LIBRE, libre même du Libre", conforme aux libres choix différents des différents utilisateurs : tout ce que fait le réseau est de fournir l'intersémiotique entre les bots.

Dans ce contexte (c'est ce que la RFC 6852 appelle les "communautés globales" qu'elle rattache aux marchés) chacun peut s'affilier à un groupe de cohérence d'un système et se le faire supporter. Tout n'étant que protocole, etxterne ou même interne, il n'y a que des blocs de constructions - différents mais interopérationnels. La partie ASAP (As A Protocol) est ma partie de gestionnaire de mes besoins personnels, pros, associatifs ; la partie des blocs logiciels et de leur devops ne l'est pas forcément (je pense qu'elle va aussi énormément évoluer vers le multiagent, mais c'est de l'amélioration "sous le capot" qui ne me passionne pas en tant que conducteur du dimanche).

Mais dans le premier cas cela demande de modifier le stack du réseau ou d'une famille d'applis. Dans le deuxième cas ce sont les utilisateurs qui modifie leur stack entre eux. On en arrive à la notion de VGN (virtual glocal network : vision globale de mes implication globales, mais selon ma perspective (stack) locale). Tout cela n'est que protocoles niveau message (intelligrammes) et totalement indépendant des blocs qui les utilisent. Donc transparent aux applications qui ne l'utilise pas.

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il y a 7 ans par ChristopheFantoni

Si j'ai bien compris vous essayez de vous monter un petit serveur web personnel que vous comptez domicilier chez vous. Alors, la première question qu'il faut se poser, c'est "mon FAI me permet-il d'avoir ma propre adresse IP ?". Par exemple, si vous êtes comme moi, chez SFR, ce n'est pas possible. On est en adresse IP dynamique (du moins, en ce qui concerne leurs offres ADSL de base). Il existe bien des solutions qui vous permettraient de régler ce premier problème, mais qui nécessiteront, soit l'achat d'un matériel supplémentaire compatible (ex : routeur sous DD-WRT, routeur de marque Dlink, etc), soit l'ajout d'un petit bidouillage logiciel de plus dans votre installation. Dans ces deux cas de figure, on obtient alors une solution fonctionnelle, mais pas très "propre" (vous n'aurez pas quelque chose comme www.mon-nom-de-domaine.com).

Pou avoir quelque chose de beaucoup plus pro, il vaut mieux acheter (ou faire transférer) son nom de domaine dans une société qui propose des DNS gratuits, ainsi que de l'achat de nom de domaine en option. La solution que je préconise, c'est celle proposée par ZoneEdit (voir ici : www.zoneedit.com/dynamic-dns/ ). C'est non seulement une solution qui vous permettra de commencer gratuitement (en sous-domaine), mais vous vous pourrez également la faire évoluer dans le temps une fois que vous en aurez un peu plus la maitrise (avec votre propre nom de domaine).

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il y a 7 ans par jefsey

Salut !

Merci pour cette réponse détaillée et bien faite (on garde contact pour la suite ?: on est sur la même longueur d'onde ) ! Mais ce n'est pas cela que je cherche. Cela c'est ce que proposent les vendeurs web/internet.

Ce n'est malheureusement pas ce dont Ector a besoin. Ce dont Ector (qui est un "bot", donc un extoplasme multimatique) a besoin c'est d'au moins trois "prothèses informatiques" où se poser : (1) sur mon PC faisant acte de superviseur de mon "neb" (nébulaire glocal, i.e. mon espace d'usage internet), (2) sur mon "domoteur" c'est à dire l'ordinateur gestionnaire de ma maison et (3) sur mon "Tipi" ("ton implantation personnelle sur internet").

Pour l'instant mes deux priorités sont de comprendre l'architecture qui pourrait répondre à mon cahier des charges et, pour la tester, commencer par la maîtrise pratique de l'administration du VPS de "mon-tipi" et la documenter pour chacun, que l'on puisse monter facilement "son-tipi".

Ce n'est que le début d'un long parcours, avec sans doute bien des choses nouvelles car orientées vers le besoin des utilisateurs plutôt que celui des ingénieurs, des vendeurs et des politiques.

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il y a 7 ans par ChristopheFantoni

Pour ce genre de projet, l'obtention d'une adresse IP fixe  - ou d’une adresse dynamique sous surveillance (je préfère ce terme à celui de monitorée) - reste tout de même la base. C'est ce qui vous permettra, par exemple, de commander votre maison à distance, via votre téléphone 3G/4G (équipé d'une connexion Internet, bien évidemment). Maintenant, si vous êtes déjà en adresse IP fixe, en étant chez Free (ou chez un autre FAI du même type), vous serez automatiquement amené à souscrire une offre chez un prestataire comme ZoneEdit qui est une des rares sociétés à mélanger les DNS gratuits, l'achat d'un nom de domaine optionnel, tout en étant reconnu comme tel par les fabricants de modems/routeurs (comme Dlink). Vous aurez alors quelque chose de beaucoup plus pro qu’un banal sous-domaine.  
Personnellement, je fais du développement de produits pilotables par Internet depuis déjà un certain temps (en tant que développeur indépendant) et il s'agit là du tout premier test que je fais faire à mes produits. J’essaye de voir comment ils vont réagir dès que l’adresse IP dynamique changera. J’apporte ensuite quelques corrections à mon microcode (ou firmware si vous préférez). Ceci explique pourquoi je suis encore chez SFR.
La plupart du temps, les objets dits "intelligents" se contentent d'embarquer simplement un serveur web. Et à distance, c'est lui que vous interrogez. C'est également lui que l'on "scripte" pour planifier certaines opérations (comme la récupération des e-mails par exemple, la mise à jour de certains statuts, etc). En clair : pour développer une solution comme celle sur laquelle vous travaillez actuellement, vous avez tout intérêt à vous intéresser aux solutions permettant d'héberger votre serveur web directement chez vous. Vous aurez alors toute la base technique nécessaire pour comprendre le fonctionnement de l'Internet des objets.

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il y a 7 ans par jefsey

Un VPS vient avec une IPv4 fixe. C'est le point d'ancrage IPv4 de mon "VGN" (virtual glocal network, c'est à dire la globalité vue de ma localité) Pour ce qui concerne l'aspect pratique réseau, (mais là nous sortons totalement de ma préoccupation d'aujourd'hui qui est purement la disposition simple et robuste d'un VPS) est INTERPLUS (c'est à dire une encapsulation du stack internet dans mon stack personnel incluant la couche six présentation) : je ne serais plus qu'en mode messages. Donc "http free".

Je serais donc intéressé par les produits que vous développez : j'essaie d'utiliser ma maison comme laboratoire de ce que peut utiliser à moindre coût un petit entrepreneur/sénior contributeur associatif et dans le cadre de ce que j'appelle l'urbanisation BIMBY 3.0 (business in your back-yard)

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il y a 7 ans par ChristopheFantoni

Ce que je développe actuellement, c'est plus des outils pour l'usine industrielle de demain, que des produits pour la domotique ou le monde de l'Internet des objets (du moins, tel qu'il existe aujourd'hui). À mes yeux, celui-ci reste pour l'instant très orienté « gadgets technologiques ». Alors, c'est vrai — pour être tout à fait honnête — que j'en développe aussi pour certaines sociétés avec qui je travaille en tant que développeur indépendant, mais dès qu'il s'agit de mes propres travaux, ces derniers sont très clairement orientés « usine de demain ». Par exemple, j'ai conçu pour un ami une imprimante 3D contrôlable à distance, via l'Internet, et permettant de mettre en série, sur une chaine de fabrication, jusqu'à 255 machines. L'objectif étant pour moi d'être capable de monter des usines 2.0 capables d'imprimer des objets à la chaine, mais avec une présence humaine limitée. Pour l'instant, le premier prototype fonctionne plutôt bien, mais nous allons l'équiper dans les semaines à venir d'une petite caméra numérique afin que le contrôle puisse également être « visuel » et non pas que « textuel ».

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il y a 7 ans par jefsey

Ce genre de logiciel pourrait il faire fonctionner des machines en fablabs (couverture géographique d'une fabrication). Il y a un appel à projet de la région Occitanie que je comprends pouvoir couvrir ce genre de possibilités. Si c'est le cas plusieurs sur Skiller pourraient être intéressés.

Vous êtes du côté de Grenoble.? Se voir à Lyon un jour où je passe avec des pros Lyonnais serait-il possible (à préparer à l'avance bien sûr) ?

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il y a 7 ans par ChristopheFantoni

Actuellement, je suis en train d'adapter ma solution de supervision pour la faire fonctionner, aussi bien avec des imprimantes 3D, des lasers de découpe (même low cost), que des CNC. D'ailleurs, pour être totalement transparent, j'attends des pièces d'ici le début de l'année prochaine afin de la tester en situation. La réponse à votre question est donc « oui ». Cette solution peut parfaitement fonctionner dans les FabLabs ! D'ailleurs, à moyen terme, mon objectif est de monter ma propre usine 2.0, sorte d'usine pilote, avant de pouvoir proposer son installation dans toute la France à d'éventuels entrepreneurs. Le problème, c'est que même si les banquiers français sont très intéressés par mon projet industriel, ils me demandent – pour me suivre – d'apporter une certaine somme d'argent… que je n'ai pas pour l'instant. Du moins, pas assez. Peut-être l’année prochaine si tout va bien. En effet, pour me constituer le reste du capital nécessaire, je vais sans doute être obligé de céder l’intégralité de la paternité de l’un de mes projets les plus importants à l’un de mes clients. Et cela fait 5 ans qu’il me le demande ! J’aurai alors suffisamment d’argent pour les banques me suivent…

En ce qui concerne l'Occitanie, j'y habite, puisque je réside sur la ville de Nîmes. Par contre, je n’y ai pas entendu parler de cet appel à projet. Peut-être celui-ci est-il spécifique à la ville de Lyon ou de Grenoble ?

Pour finir, je suis tout à fait prêt à me déplacer, mais essentiellement pour des choses très concrètes. Par exemple,  je pourrai tout à fait installer mon projet d’usine pilote sur Lyon ou sur Grenoble – je n’ai rien contre —, mais si je mets 1 million d’euros sur la table, j’attends de la ville qu’elle fasse un peu la même chose (je ne demande pas des valises de billets ;), mais au moins un apport en nature d’une valeur équivalente – ex : des locaux, un terrain, etc), et pas qu’elle me tourne autour comme si j’avais la rage. Si je vous dis ça, c’est que j’ai déjà eu l’occasion de présenter ce projet à Montpellier ou encore en Auvergne, et c’est tout à fait l’impression que j’ai eue. À Montpellier, ils ont cru que j’allais polluer leurs nappes phréatiques alors que je travaille sur un projet d’usine verte, en cercle fermé, prônant l’économie circulaire. Allez donc leur parler de certifications ISO9001 ou ISO14001 et vous obtiendrez un joli « hein ? ». En Auvergne, ils m’ont carrément dit – après 8h de train tout de même – que ça ne correspondait nullement à leur industrie…

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il y a 7 ans par jefsey

Autant pour moi. Sur la foi d'une recherche google je vous avais placé dans l'Isère. Je suis 15 km au nord de Monpellier. La proposition Occitanie est sous www.laregion.fr/appel-projets-fab-region. Je vous propose de continuer cette discussion sur skiller pour ceux que cela concerne mais d'avancer plus en détail par mail direct (skiller@primauteur.fr) si vous le souhaiter.

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il y a 7 ans par ChristopheFantoni

Merci beaucoup pour le lien. Je vais le regarder immédiatement.
Accessoirement, je connais assez bien la Région (en fait, j'ai habité sur Montpellier durant quelques années à l'époque ou je travaillais chez DELL, puis chez IBM), voire même les gens qui oeuvrent dans les structures gravitant autour des startups, et je sais qu'il faut leur donner réellement l'impression que votre projet a besoin d'eux pour le voir aboutir. Par contre, il ne doit s'agir que d'une impression, car la réalité du terrain est souvent beaucoup moins rose (dixit plusieurs de mes contacts qui font office de conseillers auprès des startups en devenir). L'objectif, pour beaucoup de porteurs de projet, est bien simple : avoir l'argent. Mais une fois l'argent dans votre poche, vous pouvez en faire presque ce que vous voulez (ex. : le concours "Coup de Pousse 201x" de la même région). Les contrôles sont très rares. Et ça, la Région le sait très bien, puisqu'elle utilise essentiellement ces appels à projet à des fins promotionnelles. Combien de fois ai-je été relancé par courrier/e-mail pour "participer" (lire en réalité "faire le spectateur") à telle ou telle manifestations, en relation directe avec le fameux concours évoqué précédemment ? Je ne compte plus (et mon associé de l'époque non plus)... 
Bref, avant de prendre une quelconque décision, je vais d'abord étudier attentivement ce qui est annoncé sur le site web de la Région. On verra bien...
Dans tous les cas, merci beaucoup.

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il y a 7 ans par usercentric

N'y aurait-il pas à regarder du côté de cozy.io/fr/ ? (je ne suis pas absolument pas expert donc cela est peut-être hors sujet).

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il y a 7 ans par jefsey

Cozy est une proposition serveur alternative ou complémentaire pour ce que j'appelle le TIPI ("ton implantation permanente sur internet") où le mot clé est "permanent". Il y a des arguments pour, contre et surtout pour le couplage (live backup), avec des arguments pour/contre les différents modèles de couplage.

Ma demande d'entraide a dérivée.

Elle porte sur le besoin d'un manuel universel (s'imposant aux hébergeurs par la demande et l'usage), niveau madame michu, pour la mise en place de son tipi virtuel (VPS, virtual private server) sous Debian, avec son DNS et son mailman (ce que ne fournissent pas les differnts XAMPP) dans le cloud.

1) Ce qui a été discuté (adressage IP, cozy ... ) correspond au tipi local.

2) N'ont pas été discutés parmi les sujets user centric connexes qui nous affectent tous et que je n'évoque que pour bien remettre ma question les pieds sur terre : une pile protocolaire (stack) sûre, des systèmes séparés pour le domoteur (gestion domotique), l'entretien du "mnème" (ensemble des traces mémorielles) et sa doctrine de présentation, probalement toute la sémiotique interne (multilinguistique et infolanguage). etc. Passionnant mais de recherche libre et universitaire :-)

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