Bonjour,
Le fond du problème c'est l'image que l'on donne de l'association des deux mots formation et professionnelle.
En effet, il fut un temps pas si lointain ou l'on a décrété que les jeunes disposeraient d'un diplôme que l'on appel le bac, pour 80 pourcents d'entre eux.
Alors que les études démontrent que pour plus de 60% de jeunes en apprentissage, celles débouche sur un emploi à la sortie, dont 50% dans l'entreprise qui les a formé.
Une trentaine d'années plus tard on se réveille avec cette "gueule de bois" et le constat que l'expérimentation à vécu ! Sauf qu'il n'y aura pas en aucune manière ni d'étude d'impact des nouvelles mesures, ni mea-culpa des décisionnaires survivants. Le coût société élevé de ce type décisions à également une incidence sur notre économie et n'est plus supportable.
L'évolution de la vision des entreprises et tout particulièrement chez les plus grandes ne changera pas du jour au lendemain ! Elle est calé sur cette vision que c'est le diplôme qui fait... Sans vouloir dévaloriser les formations initiales et autres cursus, il n'en est pas moins vrai que la diplomation de fait ni le savoir être, ni l'intelligence de l'être !