- cela a conforté le fonctionnement horizontal de l'organisation (bien sûr cela ne l'a pas provoqué, il y avait une culture préalable),
- une intensification des rythmes de travail (avec le constat d'un écart grandissant d'autres organisations restées dans un mode XXe siècle, le ratio temps de travail / livrables étant très différent)
- la téléprésence bien sûr, que l'on soit loin ou près selon que l'on est en mode écriture concentrée ou en mode interaction.
Et avec une attention nécessaire aux rythmes de chacun : le risque porte moins sur ceux qui ne font pas le taff que ceux qui en font trop ce qui peut avoir des conséquences collectives (cohérence de l'équipe) et individuelles (burn-out).
Un autre phénomène qui prend de l'ampleur : face à la masse d'informations partagées, je constate chez d'autres interlocuteurs des déperditions d'informations concernant parfois des sujets importants (courriels non lus, complexité de la gestion du versioning de documents). Pour l'instant aucune régulation, pas de règles partagées intra et inter-organisations, c'est totale improvisation : un vrai sujet de risk management !