Bonjour,
Je comprend que JVF cible des clients avec une culture "Start-ups" fortement affirmée.
En tous cas, c'est ce que je ressens face au vocabulaire que vous utilisez.
Ce n'est pas trop mon monde et personnellement je chercherai des références plus rassurantes (avec un vocabulaire plus courant) si je devais confier le développement d'une application.
Mon approche est la suivante: "si je ne comprend pas ce qu'il dit, il ne comprendra pas ce que je veux"
Mais comme je vous le dis, ce n'est que mon ressenti personnel et je suis plus orienté sur des partenaires plus classiques...
Je justifie mon point de vue pour ne pas passer pour un "has-been" numérique:
Dans mon approche métier (métier = client), le besoin d'un outil ne doit pas être traité à temps perdu. C'est un projet nécessitant un certain investissement (c'est là, une des composantes de l'équation du ROI). Devant cet investissement, il doit y avoir une prise de décision en terme de stratégie pour un Go ou un no-GO. Si l'organisation donne son Go au métier, il va y avoir une volonté de se dés-risquer financièrement. (je me souviens d'une discussion avec un DAF qui a renvoyé son responsable Qualité dans ces 22 en traitant son besoin de "petit outil ludique")
il y aura des réactions diverses selon les parties prenantes mais un partenaire dont on partage le langage est plus rassurant à priori.
N'en déplaise à la communauté SKILLER, le mot même de "Startup" est un peu inquiétant pour les financiers. Si je me trompe dites le moi! j'ai plein de projets dans mes cartons parce que les banques que j'ai pu rencontré ne donnent pas envie de devenir entrepreneur. Pourtant j'ai le sentiment d ne pas être le seul à avoir été éconduit par les banques.
Dons sur ta landing page, d'un point de vue esthétique, je la trouve sympa. Elle est claire, aérée, sans trop de texte. Mon seul bémol est sur le vocabulaire employé.
Good job, sir! ;-)