Belle démonstration qui oublie quelques aspects pouvant permettre de pousser le raisonnement proposé ...
Ce raisonnement est valable dans un environnement économique tel que défini par l'école de chicago (le capitalisme "libéral" actuellement déployé sur notre petite planète bleue) qui pose comme dogme la libre concurrence (inscrite d'ailleurs dans les traités fondant l'UE comme un territoire où la concurrence est libre et non faussée) ...
Seul petit bug, cette situation n'existe nulle part puisqu'elle prend comme prérequis que la libre concurrence ne tolère aucune régulation ... et, n'étant pas régulée, elle n'est pas libre puisque la résultante d'un jeu d'influences complexe ...
Ce qui débouche sur une situation où "un bon concurrent est un concurrent mort" puisque c'est le seul état où il ne me dérange plus et ne m'empêche plus de faire ce que je veux (pardon d'être libre ...)
Cette pseudo situation de libre concurrence telle que déployée aujourd'hui conduit mécaniquement à des situations de monopole (il suffit d'observer sur la durée le jeu concurrentiel sur les "grandes filières" pour sen convaincre ...
voilà pour un des aspects ...